Chapitre 1: la mauvaise nouvelle;


Cette nuit, n'importe qui aurait regardé, même avec beaucoup d'attention, la
rue Privet Drive en ce moment, n'aurait pu deviner qu'il y aurait pu y avoir
quelqu'un de bizarre qui habitait ici; et pourtant, en ce moment Harry
Potter soulevait avec précotion sa late de plancher branlante pour en sortir
un gâteau d'anniversaire plus très frais, mais qui lui suffi emplement. Car
Harry n'était pas un garçon ordinaire, loin de là.
C'était un sorcier.
En plus, il était célèbre, très célèbre. Car a deux ans, alors qu'il n'était
encore qu'un bébé, il avait détruit le plus puissant des mages noirs, Lord
Voldemort dont personne n'osait encore prononcer le nom, et la maniere par
laquelle il avait survécu demeurait misterieuse, il n'avait gardé de
l'affrontement qu'une fine cicatrice en forme d'éclair sur le front. Ce jour
là, Voldemort avait aussi tué son père et sa mère, et pour cette raison,
Harry avait été confié a son oncle et à sa tante, qu'il croyait être sa
seule famille jusqu'à il y a deux ans; quand il avait rencontré Sirius, son
parrain, considéré comme un dangereux criminel, mais Harry savait très bien
qu'il était innocent. Puis l'année dernière; à la suite d'un tournoi qui a
mal tourné, il s'était de nouveau retrouvé face a Voldemort, et cette fois
çi, le seigneur des ténèbres avait remporté le combat. Harry passait les
grandes vacances chez son oncle, sa tante et leur fils qu'il haïssait tous
cordialement, et c'était réciproque. L'oncle Vernon était un homme massif,
qui n'avait presque pas de cou mais en revanche muni d'une moustache de
belle taille; la tante Pétunia, elle, possédait un cou beaucoup plus grand
que la moyenne, qui lui servait a regarder par dessus les clotures et
espionner les voisins dont la vie était pourtant très ennuyeuse; et son
cousin Dudley, lui, ressemblait de plus près a un cochon qu'à autre chose,
car il n'avait jamais cesser de s'empiffrer et était énormément gras, bien
qu'il commençait a tenter de suivre un régime, et toute la famille avait été
obligée de suivre les même règles pour rendre à Dudley le régime plus
suportable. Mais Harry, grâce aux gâteaux qui lui était envoyés, ne suivait
pas du tout ce régime.
Les seules choses qui avait le pouvoir de remonter le moral de Harry pendant
les grandes vacances était ses livres de magie, les lettre de ses amis et
surtout le quiddich, sport très dangereux qui se joue sur des balais volant
(Il possédait un éclair de feu, balai de haute technologie) et Harry, dans
cette dicsipline, était très doué, c'était d'ailleur lui l'attrapeur de
l'équipe de Griffondor. Il fallait préciser que Harry était au collège de
sorcelerie de Poudlard (le collège était divisé en quatre maisons:
Griffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard), qu'il considérait comme
son vrai foyer.
Car c'est là qu'était ses amis, et surtout le monde des sorciers.
Il pensait en ce moment même à Hedwige, sa chouette blanche, qui était parti
il y a une semaine déjà pour porter une lettre a Ron, (son meilleur ami de
Poudlard, un grand garçon au cheuveux roux dont le père travaillait au
ministère de la magie) sur laquelle il écrivait avec plus de précision son
combat avec Lord Voldemord un an plus tôt, et la mort de Cédric, ce à quoi
il n'avait cesser de penser depuis le début des vacances, quand il vit
s'engoufrer par la fenêtre deux hiboux, une magnifique chouette au plumage
blanc comme la neige qui n'était autre qu'Hedwige, sa chouette, et un autre
si petit que Harry aurait eu du mal à remarquer si il ne cessait de pousser
des hululements sonores qui furent vite étouffés par l'aile puissante
d'Hedwige, ce qui était beaucoup plus commode pour Harry qui aurait eu du
mal à calmer la fureur de son oncle si il avait découvert qu'un hibou avait
non seulement apporter du courrier, mais qu'il s'était peut-être fait voir
(et surtout entendre) par plusieur personnes...Harry reconnu le petit hibou,
il s'appelait Coquecigrue et appartenait à Ron. Hedwige tendit la patte d'un
geste théatral pour permettre a son maitre de décrocher la lettre qui y
pendait mollement.
L'écriture propre et ordonée fut tout de suite atitrée par Harry à Hermione,
très bonne condisciple de Poudlard, qui avait des sentiments plus que
réciproques envers Victor Krum, un joueur de quiddich très célèbre qui
étudiait, lui, à Dumstrang, une autre école de sorcelerie.
Une fois la premiere lettre ouverte, l'envellope fut de suite dissimulée par
la late de parquer branlante, dissimulée elle-même par le lit et Harry
commença avec une soudaine bonne humeur à lire sa lettre:

Cher Harry;
Je passe le reste de mes vacances au Chaudron Baveur. Tom est accompagné de
Mme Rosmerta qui passe ses vacances ici. Elle a amenée avec elle énomément
de bieraubeurre et il y a beaucoup de monde ici grâce a cette boisson.
Car sinon, ici, les clients ne lisent même plus la Gazette du Sorcier ou la
une est toujours occupée par les nouvelles horreures de tu-sais-qui; il a
reprit le dessus et le reste de cette lettre n'est pas remplie de bonnes
nouvelles, bien au contraires...

Harry marqua une pose. IL était assez rare de voir Hermione parler aussi
grâvement; il poussa un long soupir puis reprit sa lecture.

Ici, le peu de gens qui ose encore parler parlent de toi, ils disent qu'il
veut te tuer, mais ce n'est pas mon avis, il ne faut pas qu'ils continuent
le travail que Rita Skeeter a (malheuresement) si bien entamé; ne te laisse
pas abbatre, ce n'est pas de ta faute, je te dis cela car Ron m'a dit que tu
avais l'air de culpabiliser.
A propos de Rita, elle va bien, elle a tenter plus de cinq fois de reprendre
forme humaine depuis le début des vacances, mais en vain. Je la surveille de
près, de toute façon, à la fin des vacances, je la dénonce au ministère.
Ron va normalement te réécrire (si ce n'est pas déjà le cas), et il m'a dit
qu'il passait ses vacances avec charlie qui est revenu pour quelques temps
et Percy monte de grade en grade au ministère, ce qui n'a pas l'air
d'enchanter Ron.
Au fait, j'ai vu Victor plusieurs fois pendant les vacances, mais ne le dis
surtout pas a Ron...
Amitiés,
Hermione.

Harry était un peu surpris par la lettre qu'il trouvait assez étrange, mais
un hululement particulièrement perçant lui rappela la lettre de Ron, qu'il
eu beaucoup de mal a saisir à cause de Coq qui ne cessait de voler dans tous
les sens avec Hedwige a ses trousses, comme si elle voulait lui montrer
comment devait se conduire un vrai hibou postal.
Au bout de quelques efforts, il arriva enfin a saisir la lettre de Ron:

Harry,

J'espère que tes moldus ne te maltraîtent pas trop, mais si c'est le cas,
écris moi et on vient te chercher. Fred et George commence a prendre au
serieux leur projet de magasin de farce et attrapes, et avec la somme que tu
leur a offert, il peuvent se lançer. Charlie a abandoné ses dragons pour
venir passer ses vacances avec nous et Percy a quitté les fond de Chaudrons
pour se concentrer sur les selections des brindilles de bouts de balais
volants. Il est très affecté par la mort de Mr Croupton. La fin des vacances
approche, on se retrouvera sur le chemin de Traverse avec Hermione,
d'ailleur, je la soupçonne d'avoir revu plusieurs fois Victor, elle doit
l'appeler Vicky maintenant... Comme si elle ne se souvenait pas qu'il a été
ton adversaire. Dans ma derniere lettre je lui ai conseiller de ne pas te
parler de la S.A.L.E., mais elle y travaille encore beaucoup...

A bientôt, Ron.

Après cette lecture, Harry se senti déjà beaucoup plus optimiste, il savait
que Ron avait fait exprès de ne pas lui faire part de ses inquiétudes au
sujet de Voldemort, et il lui en était très reconnaissant.
Harry regarda sa montre. Il était une heure du matin, son anniversaire
était passé depuis à présent depuis six jours, il avait reçu un gâteau de la
part d'Hermione, de Ron et de Sirius,
Hagrid (le garde-chasse de Poudlard, un demi-géant) lui avait envoyé, comme
d'habitude, des biscuits dur comme de la pierre fait maison auxquels Harry
n'avait pas touché, Ron lui avait envoyé une minuscule glace à l'ennemi (un
petit miroir dans lequel on peux voir ses ennemis arriver dès qu'ils
approchent) et Hermione lui avait envoyée une boite de dragées surprise de
Bertie Crochu. Il avait soigneusement gardé sous la late de plancher tous
ses cadeaux sauf la glace a l'ennemi qui lui servait lorsqu'il redoutait que
l'oncle Vernon viennent le réprimender pour la dixième fois de la journée
pour une raison quelquonque. Puis Harry rangea soigneusement ses lettres
avec ses cadeaux, se glissa sous ses couvertures puis s'endormi.
Quand il entendit la tante Pétunia aboyer un "debout toi" pour le
réveiller, il lui semblait qu'il venait juste de se coucher. Lentement, il
s'habilla et descendit en bas.
En le voyant arriver, l'oncle Vernon ne lui adressa pas un regard, ou
plutôt, il fit semblant de ne pas le voir mais Harry était habitué a cette
considération de la part des Dursley depuis qu'il était parti l'an dernier
avec les Weasley, la famille de Ron, qui, en essayant d'entrer par la poudre
de cheminette (réseau où l'on peut se déplaçer d'une cheminée à une autre)
avaient été obligés de faire exploser l'âtre car la cheminée des Dursley
était condamnée...
Ce souvenir cuisant était toujours bien présent dans la tête de l'oncle
Vernon, mais en revanche, tous commençaient à vouloir éviter Harry et leur
crainte envers lui grandissait de jour en jour.
Car les Dursley savaient que (comme ne se lassait pas de leur rappeler
Harry) si ils leur prenaient l'envie d'infliger a Harry une punition trop
sévere, il pouvait aller se plaindre auprès de Sirius (que les Dursley
voyait comme un dangereux criminel), des Weasley, ou encore de Hagrid (à
leur dernière rencontre avec lui, Dudley avait terminé affublé d'une queue
de cochon) et la perspective de le revoir effrayait énormément les Dursley.
Après avoir avalé sa tranche de pamplemousse, Harry se prépara à remonter
dans sa chambre quand l'oncle Vernon cria en sa direction:
-Tu as intêret a bien t'habiller pour demain, la tante Marge viens pour
l'anniversaire de Dudley.
On avait l'impression qu'il avait mis du temps pour oser lacher cette
phrase, il l'avait dite vite et Harry savait bien pourquoi : il y a deux
ans, il avait perdu son sang-froid face à elle et l'avait fait enflée par
magie...
Harry detestait la tante marge et, bien que ce n'était pas vraiment sa
tante, (la tante Marge étant la soeur de l'oncle Vernon) on l'a obligé à
l'appeler "tante" toute sa vie.
Si Harry s'était senti subitement heureux a l'annonce de ses lettres, il
n'en était plus rien. Il n'aurais pu recevoir une plus mauvaise nouvelle en
ce moment. Il s'installa a son bureau, poussa un monticule de parchemin et
commença a écrire une lettre à Ron:

Ron,
Merci pour ta lettre que j'ai reçu hier, mais tu devra attendre celle-çi
car Coq se repose un peu. Si Fred et George y arrive grâce aux milles
gallions, j'en serait très fier, et ils méritent de réussirent. Dire que
c'etait ça, les bruits qui venait de leur chambre... En tous cas, Zonko va
avoir une serieuse concurence. Percy doit être à une meilleur place au
ministère, à présent. Bien que les brindilles de balais volant ne sont peu
être pas très importante, c'est un peu mieux que les fond de Chaudrons.
Demain ma tante viens a la maison (celle que j'avais gonflée comme un ballon
en troisième année), mais ça devrai aller, maintenant, ils ont une peur
bleue de moi depuis que Dudley a eu une langue d'un mètre de long...
Je ne savait pas que Hermione continuait le projet de la S.A.L.E. , je
croyait qu'elle avait décidé d'arrêter...
On se retrouve sur le chemin de Traverse;
Harry.

Harry pris une envellope, glissa sa lettre a l'interieur, puis décida de
l'envoyer plus tard car Coq aurai peut-être du mal a la ramener vu
l'épaisseur du courrier et l'état dans lequel l'avait mis le premier voyage
et sa poursuite avec Hedwige. Ensuite, il cocha une case sur le calendrier
où il contait les jours qui le séparait de sa rentrée à Poudlard, pris un
morceau du gâteau d'Hermione et se remis a faire ses nombreux devoirs de
vacances qui lui avait été donnés. Il se pencha sur le problème de la
métamorphose humaine, posé par la professeur de métamorphose qui était aussi
la directrice de Griffondor, Minerva Mc Gonagall, une femme stricte et très
sévere qui n'accordait des sourires seulement à des occasions exeptionelles.
Il y passa le reste de la matinée et toute l'après midi, regrétant de ne
pas avoir Hermione pour l'aider (Hermione était excelante en tous les
domaines; a part, peu être, en divination). Ensuite, il décida d'envoyer sa
lettre a Ron. Il sorti Coq de la cage d'Hedwige et, après avoir réussi à le
rattraper, lui attacha la lettre à la patte et le regarda s'envoler par la
fenêtre jusqu'à qu'il ne soit plus qu'un minuscule point a l'horizon. Il
était maintenant sept heures et Harry descendit diner. En arrivant, il vit
vite que le repas n'allait pas être gai.
Evidement, il ne s'était trompé, à part Dudley qui protestait parce que ses
brocolis était trop gros et qu'il voulait des hamburgers, ni Vernon, ni
Pétunia ne dit un mot de tout le repas. Harry remonta dans sa chambre à la
fin du repas, mangea un dernier bout de gâteau d'anniversaire d'Hermione
puis se coucha. Il fit le même rêve que toutes les nuits précédentes:
Il était a Poudlard et Dumbledore (le directeur du collège) le convoquait
dans son bureau. Là-bas, il voyait le fauteuil ou devait être assis
Dumbledore retourné vers le mur, avec un énorme serpent à côté. Puis le
fauteuil se retournait et avant que Harry n'ai pû voir ce qui y était assis,
il se réveillait en sueur.
Harry regarda sa montre, il était six heures. Il attendit qu'il soit sept
heures du matin puis descendit prendre son petit déjeuner.
Il y eu autant de discution ce matin là que la veille; quand Harry
s'aventura a jeter un regard vers le reste de la table il vu que tout le
monde lui jetait de rapides coups d'oeil comme s'il pouvait, d'un instant a
l'autre, faire enfler quelqu'un comme un ballon.
- N'oubli pas qu'elle ne se souvien de rien.
L'oncle Vernon venait de rompre le silence.
En effet, le ministère de la magie avait lancé un sortilège d'Amnésie pour
que Marge ne se souviene de rien.
Harry eu soudain l'impression d'avoir comme un noeu a l'estomac:
la sonette venait de retentir dans la porte d'entrée.

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